Carmen Groza, pleine de sa soif de monumentalisme, a toujours poursuivi ses recherches plastiques.
Son œuvre s’est souvent épanouie dans une matière noire, compacte, pleine de la force des menhirs.
Des formes, des présences, des choses obscures prenaient de la place.
Tissés, traités à l’encre
Ont-ils vraiment exprimé une soif d’obscurité ?
Non, ils ne l’ont pas fait.
Plutôt une densité.
Ici, la densité s’éparpille et s’effiloche.
Arbustes, bois, buissons.
Le chemin cherche, patiemment et en toute liberté, ce qui se cache derrière les buissons.